Homme au rap

Aujourd’hui je vais m’intéresser à la manière dont un rappeur parle des femmes. C’est une idée assez peu originale en ce qui concerne le semblant chez l’homme, de l’aborder par la rencontre féminine. Je dis ça au vu du nombre d’interventions qui prennent cette porte d’entrée. Mais si ce n’est pas original, c’est peut-être pour une raison. J’écoutais il y a quelques jours une émission France Inter sur la virilité et un auditeur y donne son explication. C’était un homosexuel a qui on demandait ce qu’il pensait de la virilité. Il répond : « comme je n’ai jamais eu à plaire aux femmes, je n’ai jamais eu à faire comme si[1] ». Indiquant bien que la rencontre avec l’autre sexe est un lieu élu des semblants.

La frontière de la différence

Conférence prononcée lors de la journée organisée par le CCPO  à Rennes le samedi 24 mars 2018 dans le cadre du thème d’année : « Clinique différentielle des sexes »
Je remercie mes chers collègues du CCPO pour cette invitation. J’ai toujours beaucoup de plaisir et d’intérêt à venir travailler avec vous, et c’est l’occasion de vous remercier non seulement  pour votre accueil mais également pour votre dynamisme et votre pertinence quant à cette impossible et tout aussi nécessaire  tâche de la  transmission de la psychanalyse et c’est encore l’occasion de vous féliciter pour la création du site du pôle 9 de l’EPFCL, Tu peux savoir qui accueille également les travaux du CCPO. […]

… et si tu n’existais pas

Intervention prononcée lors de la journée pluridisciplinaire Art & psychanalyse organisée par les membres de l’EPFCL du pôle Ouest sur « Le Dire invisible » à Rennes le 23 avril 2016
Les femmes, c’est toujours du chinois ! Après Freud, qui semble n’en savoir pas plus sur ce qu’elles veulent Was will das Weib ?[1], Lacan égrène : « L’universel de ce qu’elle désire, c’est de la folie… toutes les femmes sont folles… Pas toutes… Pas folles du tout… etc.  […]