J’en déduis que l’analyste, pas plus qu’une femme, n’est symptôme de son propre corps. Tous deux sont symptôme d’un autre corps. Mais à la différence d’une femme, l’analyste-symptôme exclut le corps-à-corps, comme évoqué précédemment. Alors, à quoi prête-t-il son corps ?